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Affichage des articles du février 22, 2015

La paix intérieure ...

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Je vous recommande ce tuyau ... Parce que pour moi ça a marché !!! A la télé, cette nuit je regardais une émission, sur Arte … Un docteur affirmait que pour obtenir la paix intérieure nous devions toujours finir ce que nous avions commencé !!! Et qu’à cette condition nous bénéficierions de plus de calme et de sérénité dans notre existence .. . J’ai regardé autour de moi, j’ai fait le tour de l'appart' pour trouver les choses que j’avais commencées sans les terminer ... et j’ai fini par trouver une bouteille de rosé de Provence ... une bouteille de Châteauneuf du pape ... un bout de jambon de pays ... un morceau de fromage de Barousse ... une vouteile de bodka, un buteil de rom, le rest d lexmil, et 1 bpoite de choccccla. Wou nimagginné pa com jem sens achemen mieu mintnan. Psasse el mssage a tou ceux con bsoin de paixintrieur. &di leurrke jeu lé zèm

Je dégraisse ...

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J’ai pris un vol low-cost au départ de PAU / OSSUN… bmi … pas cher… 100 euros un aller / retour pour LILLE … « Pas remboursable, pas échangeable, pas confortable, Trop tard PETER, t’as payé !!!! » Faut arriver 2 heures à l’avance à OSSUN … Départ 6 heures du mat Du coup, j’ai pris une chambre à LOURDES … il en restait … un vrai miracle !!! A l’enregistrement, c’est fabuleux : – Monsieur, vous avez dix kilos en trop. – Mais, j’ai pas de bagages ! – Non. VOUS, monsieur, VOUS avez dix kilos en trop !!! Sur le coup ça m’a refroidi … J’ai cogité … mais non cogité, c’est pas partager un gîte avec des cogitataires … COGITO ERGO SUM !!! Cartésien Et j’ai compris d’où venait mon surpoids … IMC 28 … c’est l’indice de ma masse corporelle … C’est quand je prends la douche … pour me savonner,et me laver les cheveux … et oui j’ai encore des cheveux … j’utilise souvent un gel 2 en 1 qui fait shampoing en même temps … genre TAHITI / DOP DOP DOP… Ca évite d’avoir plusieurs produits !

le champagne ça fait péter ...

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Elle était évidente et belle et sans artifice comme une rose pâle au soleil de juin. Dans la tiédeur ouatée de cette brasserie de la rue Jehan-de-Beauce, elle paraissait m'attendre tranquillement, sur la banquette de cuir sombre où sa robe de soie légère faisait une tache claire et gaie vers laquelle je me sentais aspiré comme la phalène affolée que fascine la bougie vacillante. Sans réfléchir, je me suis assis près d'elle. Pendant que je lui parlais, ses doigts graciles tremblaient à peine pour faire frissonner un peu le mince filet de fumée bleue montant de sa cigarette. « Ne dites rien, Madame, je ne veux pas vous importuner. Je ne cherche pas d'aventures. Je n'ai pas de pensée trouble ou malsaine. Je ne suis qu'un pauvre homme prisonnier de sa haine, qui cherche un peu d'amour pour réchauffer son cœur glacé à la chaleur d'un autre cœur. Ne me repoussez pas. Allons marcher ensemble un instant dans la ville. Ouvrez-moi votre âme l'espace d'un so