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Affichage des articles du décembre 11, 2016

Bourre pif ...

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Je ne suis plus un petit bleu dans ce monde mais je vais venir polluer un peu votre atmosphère avec un billet d'humeur personnel. Vous avez le droit de m'en vouloir, je pourrais comprendre. Mais c'est qu'il n'y a qu'ici que je pense trouver les esprits qui comprendront ma prose a un degré d'humour suffisant ... En ce moment j'aurais bien envie de trouver des portes flingues adroits et bien équipés pour m'expédier un indélicat "ad patres". Le p roprio de mon ancienne planque me fait des misères et cherche à m'extorquer. Alors faute de pouvoir encore lui faire comprendre physiquement ce que je pense de sa face de fouine, je me lâche verbalement auprès de ceux qui ont encore en mémoire les temps où on pouvait régler ses affaires entre hommes d'honneurs, à la loyale, en distribuant ce qu'il faut de bourre-pif mais en restant courtois. Non mais c'est vrai quoi, ce gonze et sa greluche sont plus âpres au gain qu'une gagneus

Mémoire en fuite ...

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Je marche sur la route, le brouillard qui m'entoure est épais !!! A mesure que j'avance il s'écarte devant moi et ... se referme aussitôt dans mon dos ... Bien sûr je rêve ou plutôt, je cauchemarde ... Toujours les mêmes questions sans réponses, parce que j'ai oublié !!! Charles Dickens disait: -" toute mémoire humaine est chargée de chagrins et de troubles" .

Aïkus coquins ...

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* Faute de pouvoir tailler des pipes Elle taille à gogo des crayons Et ça fait tant de copeaux qu’elle s’en nippe * La femme a des légèretés de plumes Si vous soufflez sur son costume  Vous pourrez vous la voir à poils * Belle à tirer tout corps vers son corps Née comme ça pour aimer être aimée Puissante énigme de sucs et d’humeurs   * Colline en feu abeilles folles Ève ardente sous l’ardeur de l’amant  Corps dévorés à pleines dents * Hier c’était la vie Aujourd’hui n’est que survie Advienne demain que pourra   * Ces cerveaux extrêmenteurs Qui vont de pur en pire Pas d’autre arme que les fuir   En douce il a quitté ce monde Qu’il n’avait vraiment habité Fermant la porte pour l’autre   En vérité je vous le dis Viendra le jour où nos remèdes Mourront de nos maladies   C’était un soir de pleine lune et d'émoi Un chien de rue sans queue ni collier Me dit de ses yeux larmoyant emmène moi    Que demander au